Inzu Lodge : glamping à Gisenyi

Le Rwanda est une destination chère , du moins, c’est sa réputation . Mais c’est une réputation pas totalement exacte et Inzu Lodge en est une parfaite illustration. Situé a Gisenyi, ce lodge glamping vous offre une vue à couper le souffle, des chambres confortables et un bon resto! Le tout pour des prix défiants toute concurrence.

Situé en hauteur par rapport au lac, le lodge a été construit à flanc de collines. Ici, des tentes améliorées vous attendent. Chacune d’elles peut heberger une a quatre personnes et vous offre des lits dignes, voir meilleurs, qu’a l’hotel. Chaque chambre a l’électricité mais aussi une jolie terrasse. Les sanitaires sont partagés mais rassurez vous , il y en a plusieurs et on ne fait pas la file.

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Akagera Rhino Lodge : l’écolodge tout confort

A quelques minutes du parc de l’Akagera, le Rhino lodge est un écolodge à budget modéré qui vous offre une vue époustouflante sur le Lac Ihema et le parc . Ici , on trouve tout le confort nécessaire pour une famille et avec un budget plutôt intéressant . Toutes les chambres sont indépendantes, et donnent l’illusion à chaque client d’être seul au monde au milieu de la nature. L’accueil est très chaleureux et l’équipe se fera un plaisir de vous aider à organiser votre séjour.

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Journal d’un retour : le plan

Lorsque nous avons pris l’avion le 16 février pour rentrer à Bruxelles après ces trois semaines à Kigali, nous avions une seule certitude : celle qu’on devait revenir. Le projet de restaurant avait germé durant le séjour. Maintenant comment allions-nous passer du rêve, au plan puis à la réalité ?
Ni John ni moi n’étions entrepreneurs, personne dans nos familles ne l’était non plus , ni lui ni moi ne travaillions dans la restauration (enfin on l’avait fait en job étudiant mais de là à ouvrir son propre restaurant). Nous n’avions aucune idée sur comment commencer et même Google ne m’aidait pas beaucoup . Nous avons rapidement décidé d’en parler à nos amis. J’entends souvent dire qu’il faut taire ses projets, ne pas en parler tant que ce n’est pas concret. Il y a derrière tout ça un mélange de superstition et de peur.

S’installer à Kigali

Nous sommes de nouveau dans cette période de l’année où certains partent et d’autres arrivent, enfin vu le contexte ils arriveront probablement plutôt cet été. Cela dit les DM et les emails sont d’ores et déjà bien là avec plusieurs questions récurrentes auxquelles je vais tenter de répondre ici. La première et la plus courante étant où vivre à Kigali ?

Kigali n’est pas une grande ville avec des embouteillages, et je souris souvent quand quelqu’un me dit qu’il vit loin car cela signifie sûrement qu’il vit à 20 ou 30 minutes du centre ville. Globalement j’ai l’impression que tout est à peu près à 15 minutes de voiture de tout. Surtout que la ville a crée récemment des nouvelles routes qui permettent de joindre des points assez opposés plus facilement. Alors où vivre dépendra de plusieurs choses. Votre budget évidemment, vos attentes en terme d’infrastructures proches de votre domicile, ce que vous trouvez charmant ou pas. La sécurité est bonne partout, et dès lors n’est pas un critère selon moi. 

 

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Journal d’un retour : la découverte de Kigali

Le 25 janvier 2014. Cette date je l’ai tellement attendue. C’était le premier vol long courrier d’Adèle et nous allions enfin au Rwanda . Quand l’avion s’est posé sur la piste à Kigali, j’ai été bouleversée. Il avait plu avant l’atterrissage, et quand les hôtesses ont ouvert, l’odeur de la pluie m’a littéralement percutée et j’ai pleuré. Mon mari ne comprenait pas ma réaction mais cette odeur, celle de la laterite après la pluie c’était une odeur qui m’avait tellement manquée et qu’on ne peut sentir que par ici . C’était tout une vague de souvenirs d’enfance qui débarquait. Et avec elle, beaucoup d’espoir aussi.

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Journal d’un retour : l’envie de partir…

Il n’y a pas forcément une bonne raison de « rentrer », il peut y avoir différentes raisons derrière cette envie. Dans notre cas, John et moi avions des raisons communes et différentes.

En commun, nous partagions l’envie d’élever notre fille ailleurs qu’en Belgique uniquement, nous voulions plus de multiculturalité . Nous avions aussi le sentiment qu’il serait difficile de sortir de nos cases en restant dans l’environnement où ces cases existaient depuis si longtemps. Nous cherchions notre page blanche afin de pouvoir découvrir qui nous étions quand personne n’était là pour nous regarder ou dire ce qu’on devait faire, même implicitement .

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